Cette oeuvre fait partie d'une série de photographies que l'artiste a transformé numériquement : "A l'heure du train, mirages paysagers" et décrit ainsi :
"A travers la vitre du train, j'observe la lumière et la couleur réenchanter le paysage. Je saisis le jeu subtil et fugace de leur dialogue en mouvance. J'interroge le leurre créé par ce déguisement coloré sur nos perceptions de l'espace et du temps et, bien entendu, sur nos émotions. Mystérieuse, angoissante ou rieuse, la campagne est figée telle qu'elle se présente dans toute l'éphémérité de cet instant qui passe."