« Paysage suisse » est une histoire de transformation où la transformation extérieure du paysage est utilisée pour refléter, épouser la transformation intérieure. S’y dégage une présence animiste, quelque chose d’assez mental. Le résultat de ce travail est une fiction dans des paysages absurdes. Paysages sans artifices, avec parfois des personnages de dos ou de ¾ pour que le spectateur se mette à leur place, essaie d’imaginer leur ressenti. Paysages fantômes dans lesquels le spectateur erre.