Parcours
Parallèlement à sa carrière dans le cinéma, publicité, TV, Michèle TASSI s'est toujours passionnée pour la création. Tout en poursuivant par intermittence ces activités, elle s’engage dans une démarche artistique plus personnelle : sculpteur, peintre, plasticienne.
Elle rencontre le sculpteur Alberto Carlinski, élève de Ossip Zadkine, et travaille dans son atelier à la découverte des volumes. C’est le début de son travail de sculpteur.
Puis le sculpteur brésilien Jaildo Marinho, l’amène à découvrir, d’autres matériaux. Il l’initie à la soudure à l’arc.
Exposition au « Salon d’Automne» au Grand Palais à Paris.
Elle participe à l’exposition collective internationale de la Côte Fleurie «31 Salon des Léopards », à Touque, Normandie.
Sa rencontre avec le peintre Christian Zeimert, est déterminante. Elle s’inscrit dans son académie abandonnant la sculpture au profit de la peinture.
Découverte d’une nouvelle technique, qu’elle développera dans sa série figurative sur la ville « Métaphore du silence » inspirée d’un voyage à New-York puis dans d'autres series sur le thème du corps déja abordé en sculpture.
Les rencontres avec les artistes, Paco Puyuelo (sculpteur) Gosti (sculpteur) Alain Nahum réalisateur et photographe plasticien, Roland Buraud peintre, ponctuent son travail d'artiste.
D’autres thèmes, d’autres techniques, d’autres supports sont également abordés par la suite : abstractions picturales, techniques mixtes sur toile, Encre sur papier.
Son amitié avec le peintre Roland Buraud lui permettra a la fois de partager durant plusieurs mois, son atelier et d’échanger divers points de vue artistiques, marquant une évolution dans sa recherche.
A propos
Michèle TASSI travaille divers médiums : sculpture, peinture, acrylique, technique mixte sur toile, encre sur papiers.
Cette dimension de multiplicité est à l’origine d’œuvres qui se proposent de donner forme à un processus d’évolution.
Son travail s’articule par série. Ses réalisations sur le thème de la ville, « Métaphore du silence »,explorent la perception du silence et de l’étrange. L’artiste met en dialogue ce qui se voit et ce qui se donne à découvrir.
Le mystère qui émane de ses peintures se poursuit dans de nouvelles séries - déjà abordées en sculpture - sur le thème du corps.
Les séries " Empreinte ", " Envolement ", " Allégorie" mettent en évidence la présence des corps, l’ambivalence de leur puissance et de leur vulnérabilité, dans des espaces indéfinis. . Michèle Tassi suscite dès lors, en sa recherche, la mémoire archaïque de l’être dans son lien organique un monde immatériel entre terre et ciel engendrant la persistance d’une sorte de silence du mouvement.
Elle utilise par ailleurs une technique très personnelle acrylique-huile qui mêlent des tons fondus aux contours brumeux, flous, flottants…
La série « Vestigium corpus » aborde la même thématique avec une technique différente : encre de chine sur papier.
Art painting : http://www.michele-tassi.com
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