PHILIPPE CLEM

Notre perception de la matière  évolue selon les différentes échelles du regard. C’est la même chose pour les êtres vivants qui nous entourent. Mes toiles ne sont jamais figées, ni achevées dans le sens où elles accueillent des points de vue et des sensibilités variées d’un public.  Elles provoquent l’imagination. Mes peintures tentent de traduire la nature dans sa globalité et ses détails. Les reflets de l’infiniment grand et de l’infiniment petit cohabitent et se révèlent. Le choix des teintes, des formes et des lignes crée le mouvement.  Alors la peinture, donne une réponse à la question des échelles et rend compte d'univers imperceptibles immédiatement à l’œil nu.