ALPAZ

Antoine, né en 1975, marié et papa d’un petit Sasha de 6 ans. Originaire du Nord de la France, j’ai passé de nombreuses années entre la Belgique, Lille, Grenoble et Paris pour finalement m’installer dans les Alpes Maritimes.

Un bac option art de l’image, à l’institut St Luc de Tournai en Belgique jusqu’en 1995.

Puis je m’oriente vers des études supérieures de marketing et de communication. Plus tard, je crée une petite agence de publicité. J’y retrouve un côté artistique intéressant mélangé au logiciel de création graphique.En 2004, je quitte ce monde pour rejoindre l’hôtellerie pendant 12 ans. La création devient secondaire mais je m’y intéresse toujours en tant que spectateur. Je visite volontiers les salles des ventes, les expos et photographie toutes les œuvres de streetart que je croise.

Influencé par le mixe popart et streetart, de temps en temps, je prends mes feutres, mes bombes et réalise des collages sur toiles qui sont restées dans mon atelier. Une sorte de plaisir personnel très irrégulier et sans ambition particulière.

Les confinements successifs de 2020 m’ont finalement permis de remettre la création plus au centre de mes activités.

Autodidacte, je m’initie à la sculpture, je crée des bouteilles en béton, je déforme des canettes en alu, peint et transforme de multiples objets. Au printemps 2021 je crée «I’M A FUCKING PLASTIC STAR». L’oeuvre est selectionnée parmi les finalistes du « GRAND PRIX DU GRAFFFITI», exposée à la Grand Serre de St Ouen et vendue chez DROUOT en 2022.

En même temps je découvre l’évolution des nouvelles technologies et l’impression 3D. Une nouvelle fois novice dans ce domaine, j’apprends seul les bases de la création 3D sur informatique et me rends compte des possibilités que cela peut m’apporter.

Depuis je développe une technique de travail qui mélange la création numérique et le travail manuel en atelier.

Je ne sais pas si on peut appeler ça un parcours artistique ou un CV, c’est juste une brève présentation du cheminement qui m’a amené à prendre un vrai plaisir en créant « BIC WEAPON ».