Caroline Satin vit et travaille à Bruxelles.
Apres être diplômée de l’Académie Royale des Beaux-arts de Bruxelles, elle ne peut réprimer sa fascination pour le volume, la matière, et son besoin irrépressible de les dompter, c’est donc tout naturellement que la sculpture se dégage des autres disciplines.
Consultante de formation, elle navigue entre l’amour du mobilier et celui de la forme, c’est en en 2017 qu’elle basculera vers la sculpture et que celle-ci s’imposera comme activité professionnelle majeure.
En s’affiliant à l’académie des arts de Bruxelles (soir) elle parvient à dompter sa frémissante créativité, dans ce qui sera un terrain de jeu propice à de nombreuses réalisations monumentales.
Curieuse et passionnée, elle enrichit son éducation artistique par sa participation à des workshop collaboratifs, stages en immersion et d’autres formations précieuses pour accompagner la révolution numérique
Ses créations sont d’une grande diversité et elle n’a pas de limite dans ses recherches, elle se familiarise aussi bien avec du bitume qu’avec de l’acier, du silicone, polycarbonate, béton, résine, treillis, moteurs, tubes pex et autres materiaux de récupération pouvant être tant d’origine synthétiques, que métalliques ou composites.
Ses recherches qui s’articulent sur le Mou*, la matière, et les profondeurs de celle-ci peuvent également faire référence à des thématiques plus contemporaines, telle qu’anthropologiques, écologiques et industrielles ; en abordant par exemple les conséquences néfastes des écrans sur la santé publique, les dérives de l’architecture, ou encore les problèmes d’échanges humains.
De sa curiosité pour les sciences, découle l’apparition du mouvement ainsi que d’autres phénomènes propre à la physique ; de celle pour l’architecture, son attrait pour le relief, et son désir de retrouver la richesse des motifs ornementaux du passé ; et de son attirance pour la matière, résulte l’envie d’interaction physique entre l’oeuvre et le spectateur.
*Le mou, comme le gras, c’est la vie
Caroline Satin currently works and lives in Brussels.
After she is graduated from the Royal Academy of Fine Arts in Brussels, she cannot repress her fascination with volume, material, and her irrepressible need to tame them, so it is naturally that sculpture emerges from the other disciplines.
Trained like a consultant, she navigates between her furniture’s love and her form’s love, it is in 2017 that she will switch to sculpture and that this will establish itself as a major professional activity.
By joining the Brussels Academy of Arts (evening) she manages to tame her quivering creativity, in what will be a playground for many monumental achievements.
Curious and passionate, she enriches her artistic education through her participation in collaborative workshops, immersion courses and other valuable training to support the digital revolution
Her creations are of great diversity and she has no limit in her research, she becomes familiar with bitumen as well as with steel, silicone, polycarbonate, concrete, resin, mesh, motors, pex’s tubes and other recovered materials which may be of synthetic, metallic or composite origin.
His research, which focuses on Soft *, matter, and its depths can also refer to more contemporary themes, such as anthropological, ecological and industrial ; by addressing for example, the harmful consequences of screens on public health, the drifts of architecture, or the problems of human exchanges.
From his curiosity for the sciences, arises the appearance of movement as well as other phenomena specific to physics; that for architecture, its attraction to relief, and its desire to rediscover the richness of ornamental motifs of the past ; and from his attraction to matter, results the desire for physical interaction between the work and the viewer.
* Softness, like fat, is life