Cannoise d’adoption depuis l’âge de 7 ans. Sandrine Darcos, jusqu’à ses quarante ans a un parcours dit « normal » Préparatrice en pharmacie pendant vingt ans.Puis lors de vacances, un véritable coup de cœur pour la République Dominicaine. Un an après, de...
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Cannoise d’adoption depuis l’âge de 7 ans. Sandrine Darcos, jusqu’à ses quarante ans a un parcours dit « normal » Préparatrice en pharmacie pendant vingt ans.
Puis lors de vacances, un véritable coup de cœur pour la République Dominicaine. Un an après, de retour sur cette île haute en couleurs, avec un sabbatique en poche. Pendant quatre ans, elle travaille dans différentes professions.
Elle dit : « L’expatriation vous ouvre l’esprit. Il y a un avant et un après. Vous n’êtes plus la même. » Elle rentre en France avec un « don » de magnétisme. La réintégration est pas facile. Pas question de reprendre la vie d’avant. Impossible de se remettre dans moule.
C’est lors d’une immobilisation que l’évidence s’impose. Travailler dans les réseaux sociaux en freelance (community manager). Avec ce travail, elle côtoie le monde artistique. Ses amours d’enfance, comme la photo et l’écriture ressurgissent.
Au fil du temps et de pratique, son œil s’aiguise. Son studio, c’est la rue sans mise en scène.
Le travail avec différentes matières comme l’asphalte, le béton, le sable et la mer, peuvent se trouver sur le même cliché.
Le reflet fait partie de son environnement. Vitrines, affiches, voitures. Deux mondes se mélangent divinement bien. Illusion et réalité.
La vie urbaine (urban style) regorge de surprises et d’objets insolites déplacés de leur contexte.
Avec son œil et son intuition, la banalité se transforme eu une photo paradoxalement unique.
Globalement, Sandrine aime ce qui est décalé. C’est sa signature